Gros plan sur la vie des séniors

Les personnes qui sont nées vers 1957 ont atteint l’âge de la retraite. C’est le début d’une nouvelle vie pour tous, monotones pour certains, joyeuse pour d’autres. L’incompréhension entre les générations est souvent évoquée à cause du décalage de l’éducation, mais la solidarité existe, quoiqu’on pense. Les activités font partie de ce qui lie les jeunes et les plus âgées. Parlons-en.

La pratique d’une activité physique permet de conserver une santé de fer tant pour les personnes âgées que pour les jeunes. Il est conseillé aux personnes du 3è âge de pratiquer fréquemment le sport afin de maintenir un lien avec l’extérieur, prendre du temps pour soi, garder une vie sociale épanouie et entretenir sa santé pour prévenir la perte d’autonomie. Les maisons de retraites ont été créées pour une vie sereine.

Témoignage de Michaele, qui a trouvé une maison de retraite grâce à Cap Retraite

Je m’appelle Michaele, je suis à la retraite depuis peu et je profite de la mise en ligne de mon nouveau blog pour remercier Cap Retraite qui m’a bien aidé. Je n’en dit pas plus, mais faites leur confiance !

Les bienfaits du sport chez les seniors

Les bienfaits de l’activité physique chez les aînés sont nombreux. Le sport se pratique à tout âge. C’est un gage de bien-être qui doit être adapté aux capacités physiques du sportif. Á partir de 50 ans, la force et la masse musculaire diminuent significativement. En plus, à la capretraite, les séniors perdent l’habitude de se déplacer au quotidien et de pratiquer des activités physiques. Le vieillissement du corps combiné à une vie sédentaire peut avoir des séquelles sur l’autonomie avec un risque d’étouffement rapide, de chutes ainsi que des risques de maladies cardiovasculaires et d’obésité.

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  • Les avantages du sport chez les aînés

Le sport à un impact positif sur ces différents dysfonctionnements de l’organisme. Outre cet avantage, il permet aux personnes âgées de ralentir la perte d’autonomie en entretenant le cœur, les muscles et l’équilibre. C’est un moyen adéquat pour juguler les effets du vieillissement. C’est aussi une bonne façon d’évacuer le stress et de réduire les risques de dépressions en gardant une vie sociale active.

L’inactivité physique entraine plusieurs problèmes liés à l’âge. Ces maux sont pour la plus part du temps causés par la sédentarité. En effet, elle provoque une diminution de la force musculaire et de la densité osseuse. Il est à noter que la personne inactive au plan physique devient moins souple. Pourtant la force musculaireet la flexibilité sont nécessaires à la mobilité.

  • Quelles activités physiques pour les personnes âgées ?

Les médecins sont capables d’indiquer les sports adaptés à leur santé. La pratique régulière d’une activité physique permet de vive plus longtemps. En revanche, certains sports sont contre-indiqués aux personnes du troisième âge, notamment les sports nautiques et de combats ainsi que ceux présentant des risques de chutes.Un entrainement intense leur est déconseillé. En revanche, il est conseillé de débuter le sport de manière progressive afin de réhabituer son corps à ses efforts.

Pour être efficace, l’activité physique d’endurance doit être pratiquée par période d’au moins 10 minutes. Elle est repartie sur une semaine et peut être modérée à 30 minutes par jour durant une semaine. Si possible, le seniors avec de bonnes aptitudes physiques peuvent doubler ce temps et atteindre 300 minutes par semaine, soit ¾ d’heure tous les jours. Les bienfaits en sont accrus.

Les sports conseillers aux personnes du troisième âge sont la nage, la danse, le vélo, la marche, le Taï Chi, la gymnastique, les activités professionnelles, le jardinage et les tâches ménagères. Afin de bien choisir le sport à pratiquer, bon nombre de paramètre sont en prendre en compte. Il faut opter pour une activité physique adaptée à sa santé ainsi qu’au lieu de pratique qui doit être facile d’accès. Il est conseillé de choisir un sport de groupe, convivial et intéressant, pour motiver un sénior et garder un lien avec ses proches.

Les pensionnaires ayant des problèmes de mobilité doivent faire trois fois par semaine des activités physiques visant à améliorer l’équilibre et à prévenir les chutes. Les exercices de renforcement musculaire dont le but est de faire intervenir les principaux groupes de muscles est également au programme.

Dans le cas où les aînés ne peuvent pratiquer les différentes activités proposés par les médecins du fait de leur condition physique, ils doivent rester le plus actifs possible selon leurs capacités. S’ils n’arrivent pas à se mouvoir, il faut qu’ils essayent de bouger avec l’aide du kinésithérapeute, d’un aidant professionnel ou d’un proche.

  • Perte d’autonomie et maintien à domicile

Les séniors qui atteignent un âge très avancé deviennent de plus en plus nombreux. Parmi eux se trouve une grande proportion de personnes âgées en perte d’autonomie. Leur prise en charge est possible à leur domicile ou en maison de retraite médicalisée. Grâce à la grille d’AGGIR, les conseillers arrivent à mesurer la perte d’autonomie des aînés et de mettre en place des solutions.

Elles permettent de pallier aux risques d’accidents domestiques dans le cas d’un maintien à domicile.Différents types de soutiens à domicile leur permettent de bénéficier de plusieurs prestations sans avoir à se déplacer. Pour freiner l’entrée d’un sénior dans la dépendance, il est primordial d’identifier les signes annonciateurs de cet état d’inactivité. Ainsi, il est possible de mettre en place une prise en charge pour prévenir l’autonomie. Les signes susceptibles d’éveiller l’attention des proches sont :

– L’apparition des troubles de l’équilibre comme les chutes fréquentes.
– Une croissance de la fréquence des ennuis de santé, la détérioration rapide de l’ouïe ou de la vue, les douleurs récurrentes ou encore une hygiène négligé,
– Le dysfonctionnement du comportement, les colères irrationnelles, l’accumulation de factures non réglées, des négligences répétées dans l’entretien de la maison ou le courrier qui s’amoncelle,
– Le changement des habitudes alimentaires, achats alimentaires désordonnés, alimentation déséquilibrée, difficulté à utiliser les ustensiles de cuisines, moins de plaisir à se cuisiner un repas.

Lorsque ces différents signes apparaissent chez les personnes âgées, il est conseillé de planifier une prise en charge afin de prévenir la perte d’autonomie. Lorsqu’elle mise en place à temps, l’aide à domicile stimule leurs facultés mentales et physiques.

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  • Les entraves à la solidarité intergénérationnelle

Les relations entre générations peuvent bien fonctionner si chacun des groupes décide d’avoir une idée positive de l’autre. En effet, les seniors estiment que les enfants font beaucoup de bruit et que les adolescents sont des voyous. Les jeunes de leur côté, voient les personnes âgées comme une entrave à leur liberté.

Le vieillissement de la population est un des principaux facteurs qui provoquent ce genre de réflexion. Les spécialistes estiment que cinq générations s’entendront parfaitement dans l’avenir car les plus de 65 ans ne représenteront que 25% de la population. Ils affirment également que la cohabitation est difficile à cause de la sécurité sociale et des pensions. Le véritable problème est que ceux qui cotisent (les jeunes) sont moins nombreux que les bénéficiaires (les séniors). Un démographe affirme que le problème entre les générations est le plus souvent créé dans le milieu financier car les jeunes pensent que les aînés gaspillent beaucoup les ressources collectives qu’ils pouvaient utiliser.

Par ailleurs, notons que certains aspects de la vie sociale et de la vie en commun nécessitent qu’on accorde une grande importance aux conséquences du vieillissement. On peut citer la cohabitation dans le même endroit des enfants, adolescents, adultes et personnes âgées, l’aménagement des espaces publics dont l’utilisation se fait de façon différente pour chaque génération, la vie professionnelle qui incluse celles des enfants et des parents, la vie économique, les relations de travail, la vie associative, la mobilité et les syndicats.

Enfin, notons que un des éléments importants qui nécessite qu’on accorde une grande priorité aux raisons qui poussent à faire l’intergénérationnel est que la majeure partie des séniors sont isolés. Les experts parlent donc d’une pauvreté relationnelle qui provoquée de façon inconsciente par la société.

De nombreuses causes sont liées à cet isolement. L’âge de la pension, par exemple, engendre une séparation avec le monde social. En effet, les aînées ont le sentiment d’être dévalorisé en raison des changements financiers qui poussent certains à vivre avec juste le minimum. La seconde cause est en rapport avec la famille. En effet, le veuvage et le divorce des éléments auxquels sont les personnes âgées sont confrontés de plus en plus. L’affaiblissement des liens intrafamiliaux en fait également parti.

Ces différents éléments montrent l’isolement progressif des seniors. Ils sont confinés alors qu’ils peuvent qu’ils peuvent aider la société dans la revalorisation des relations humaines. Il est donc important de rechercher ce que chaque génération peut apporter à l’autre pour les discordes.

  • Le soutien mutuel, un élément important pour la croissance

La crise financière, le chômage de masse et les changements dans les structures familiales sont des éléments qui poussent à promouvoir la solidarité entre les générations.

Le marché de l’emploi doit être réétudié pour aider tous les personnes de tout âge, réduire le chômage de longue durée pour les jeunes et moins jeunes. En effet, le fait de laisser augmenter les problèmes entre l’emploi des jeunes et la capretraite flexible aggrave d’avantage les séparations entre les générations et constitue un frein à la cohésion sociale et à l’égalité dans les sociétés.

Notons que le partage des compétences entre les deux générations est favorable pour chacune des parties. Les personnes âgées, par exemple, transmettent, leur expérience et peuvent bénéficier en retour d’un certain nombre de connaissances numériques. Le développement de la société dépend d’une part des différentes expériences et d’autre du soutien mutuel de toutes les classes d’âge.

Les modifications dans les structures familiales ont également des effets négatifs sur la solidarité intergénérationnelle. En effet, les personnes ont prit l’habitude de vivre de façon isolé que dans les années antérieures pendant qu’on assiste a une forte augmentation des familles nucléaires et des obligations de soins. De plus, la crise économique rassemble souvent des membres de la famille de divers âges dans des situations complexes. La solidarité apparaît donc une solution efficace pour faire face à ces inégalités sociales et ces exclusions qui ne cessent d’accroître. Il faut entreprendre les démarches au niveau local, car c’est dans cet environnement que les citoyens tissent beaucoup et facilement les liens.

Il faut également promouvoir et soutenir les initiatives entre les générations. Pour ce faire, il faut que tout le monde s’y mette, en l’occurrence les responsables politiques, les employeurs, les syndicats, les organisations, les organisations de la société civile et les citoyens. On constate que la majeure partie des incitatives se font au niveau, il faut donc que les législations et les recommandations de l’Union Européenne une grande importance à ce sujet dans le but de garantir la solidarité.

Par ailleurs, il est recommandé de ne pas s’arrêter uniquement deux âges extrêmes (enfants et vieux) dans cette démarche, il faut s’assurer que tout le monde est impliqué. Il faut également privilégier les petites actions concrètes, prendre en compte les besoins et les désirs des citoyens pour favoriser l’émergence de la société.

L’accompagnement, l’hospitalisation et les maisons de retraite pour les personnes âgées

L’accompagnement d’un sénior peut constituer un défi pour les aidants. Cette prise en charge suscite souvent des conflits au sein des différents membres de la famille. Les difficultés de l’accompagnement, l’épuisement de l’assistant principal, les problèmes familiaux latents et la cherté du coût de la prise en charge peuvent facilement mettre le feu aux poudres. En revanche, lorsque les proches de l’aîné sont unis, il est plus facile d’aider la personne dépendante de mieux vivre le grand-âge et surmonter les différents défis liés à ses soins.Face à un conflit résultant de la nature et l’étendue de l’aide dont le sénior a besoin, les aidants font appel à un professionnel. Mieux encore, une infirmière libérale spécialisée en gérontologie analyse la situation de la personne concernée afin de de décider si elle est ou non en sécurité chez soi. Son avis a plus de poids que ceux des enfants. Après la résolution des désaccords, les familles disposent de plusieurs structures d’informations où ils pourront retrouver des prestations pour leur aîné en perte d’autonomie.

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  • L’hospitalisation de séniors

Après une hospitalisation, le retour à domicile s’avère difficile du fait de l’état de santé encore fragile. Les spécialistes recommandent d’anticiper de manière significative ces difficultés avant et après l’hospitalisation. En effet, un soutien moral et physique est attribué selon la situation et sous conditions. C’est à la caisse d’assurance capretraite et de la santé au travail d’organiser la mise en place des aides. Cela ce fait après une demande du service social de l’hôpital. Si le séniordispose déjà d’une allocation d’autonomie (APA) ou de a prestation de compensation du handicap (PCH), il ne peut bénéficier de cette aide. Plusieurs établissements proposant des soins de suite et de réadaptation sont mis à la disposition des séniors qui désirent se rétablir et prendre des forces avant de rentrer chez eux. L’admission dans une telle structure se fait sur demande médicale. Ils peuvent être hébergés temporairement dans un établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) ou dans d’autres centres d’accueil non médicalisés. Pour faciliter leur insertion, les EHPAD mettent en place des actions visant à améliorer la qualité du parcours de soins de leurs pensionnaires. Pour éviter les temps d’attente inutiles aux urgences, ces structures mettent en place des partenariats avec des hôpitaux du secteur. Ces accords permettent aussi d’organiser une communication directe entre l’équipe soignante de l’EHPAD et celle des services gériatriques des hôpitaux. Cela facilite le suivi des soins, l’accueil du résident à son retour dans l’EHPAD et permet un meilleur suivi des entrées et sorties d’hospitalisation des résidents. L’établissement met aussi en place un meilleur suivi des situations d’urgence afin d’éviter une hospitalisation inappropriée,de renforcer la continuité, la sécurité et la qualité des soins dispensés aux personnes âgées.

  • L’accompagnement des personnes âgées

Les centres locaux d’information et de coordination (CLIC) et les centres communaux d’action sociale (CCAS) sont disponible dans tous les départements et dans chaque mairie. Outre ces organismes, il existe également d’autres acteurs qui interviennent dans l’accompagnement des pensionnaires atteintes de la maladie d’Alzheimer comme la MAIA et la Caisse nationale d’assurance maladie, le responsable du forfait soins des EHPAD. Concernant le financement, les enfants de la personne âgée sont tenus par l’obligation alimentaire de l’aider dans le cas où elle ne dispose pas de ressources suffisantes pour financer sa prise en charge. En générale, la répartition de cette aide est décidée à l’amiable par les familles. Lorsque les aidants familiaux estiment qu’ils assurent une partie importante de l’accompagnement, ces professionnels sollicitent l’aident des autres membres de la fratrie. Dans un tel cas, il est souhaitable de préciser ses besoins spécifiques.

Quant à l’hospitalisation, c’est une période assez difficile pour les personnes âgées ainsi que pour leur famille. A la suite d’une maladie ou d’une chute, l’hospitalisation n’est jamais anodine pour ces derniers. Pourtant les difficultés continuent après la prise en charge à l’hôpital. Pour un bon retour au domicile, il est important de bien préparer le domicile pour vivre sereinement ce moment aussi délicat pour les aidants que pour le sénior.

L’hospitalisation est un moment embarrassant où il est possible de se trouver vulnérable du fait des conséquences de l’intervention médicale, de la fatigue et de la vie en collectivité. Toutes personnes hospitalisées bénéficient de droits fondamentaux qu’il est important de connaître afin de mieux les exercer. Ce sont le droit de voir sa douleur soulagée, le respect de l’intimité, le droit de recevoir des soins appropriés, le droit de bénéficier de soins palliatifs, le droit d’être traité avec égard ainsi que le respect des convictions et des croyances.

  • Les maisons de retraite

Les centres spécialisés aident les familles à trouver une maison de retraite convenable aux besoins de leur proche âgé. Entièrement gratuit, ils offrent un suivi personnalisé et complet jusqu’à l’entrée du sénior dans un EHPAD.

Derrière le terme « maison de retraite » se cachent des différences importantes, en fonction du type d’établissement d’accueil des séniors, leur statut et leur nature. En effet les maisons de retraite sont des établissements spécialisés dans l’accueil des aînés invalides, semi-valides ou valides. Il en existe différents types.

Les maisons de retraite publiques appartiennent au département ou à la commune. Ses coûts sont fixés par le conseil général. Les pensionnaires démunis peuvent bénéficier de l’aide sociale à l’hébergement (ASH).

Les maisons de capretraite privées commerciales ou associatives sont dirigées des mutuelles, des caisses de retraite, des groupes privés spécialisés, des groupes hôteliers, des fondations ou des associations.

Les maisons de retraite médicalisées ou EHPAD sont spécialisées dans l’accueil des séniors ayant perdu momentanément ou durablement leur autonomie. Elles leur proposent des activités adaptées à leurs besoins et un encadrement médical. A cet effet, ils bénéficient de soins d’un personnel permanent composé de médecins, des kinésithérapeutes, des aides-soignants, des animateurs, des orthophonistes et des auxiliaires de vie.

L’unité protégée Alzheimer ou Cantou est une structure qui s’occupe des personnes du grand âge présentant des symptômes de la maladie d’Alzheimer ou de démence. Elle propose des activités thérapeutiques, de renforcement de lien social pour faire face à la problématique de la démence.

Les unités de soins de longue durée (USLD) sont spécialisées pour accueillir des séniors qui ne disposent plus de leur autonomie de vie. Elles prennent également en charge les personnes âgées dont l’état de santé nécessite des traitements médicaux d’entretien et une surveillance constante.