Quelle est la période idéale pour faire des œuvres sociales ?

Une personne âgée n’a rien perdre une fois qu’il a cessé son activité professionnelle. Il peut s’adonner à des activités qui lui tient à cœur pendant sa période d’activité. Les œuvres sociales font partie de ces célérités qui peuvent animer les séniors et leur faire sortir de leur bulle. Ces organismes prennent en charges toutes les activités culturelles et sociales établies dans une communauté ou dans une société au profit de la famille des salariés.

Pourquoi les œuvres sociales sont importantes pour les séniors ?

Les associations caritatives ont un emploi du temps bien chargé et c’est pour cette raison qu’une personne à la capretraite est toujours la bienvenue dans l’une de ces associations. Cela est aussi bénéfique pour un baby-boomer pour éviter son isolement selon.

Un organisme social interne à une entreprise permet à ces agents d’accéder à l’amélioration des conditions d’existence. Cela s’applique également à toutes les personnes âgées puisqu’il y a des prestations à caractère culturel, de loisir ou social.

Il est vrai que seuls les salariés permanents peuvent disposer de ces atouts, mais cela n’empêche pas à un sénior de faires des œuvres de charité. De plus, il existe d’autres organismes qui mettent en valeur la capacité physique et financière des personnes âgées pour pouvoir les accompagner dans les activités de bonne foi.

Ils disposent parfois d’un bureau qui détient le pouvoir décisionnel, et d’un conseil d’administration. Les membres de ce conseil sont généralement élus par des syndicats sur la base de ceux qui les représentent aux élections professionnelles.

C’est une bonne raison pour un retraité de reprendre les activités et de passer le temps avec d’autres personnes ayant le même objectif. Cela est complètement faisable pour un sénior qui en est membre puisqu’il dispose beaucoup de temps libre.

Le but des œuvres sociales

Les actions des œuvres sociales se structurent principalement en 3 principes bien distincts : l’assistance, la protection universelle et l’assurance. Ces 3 principes sont destinés pour les personnes les plus défavorisés dans la communauté.

Une association agit en général dans le domaine de l’action éducative, sociale et culturelle. Elle a pour objectif d’accompagner socialement et culturellement les jeunes tout en visant à favoriser leur développement personnel et leur intégration dans une communauté en tant que citoyens actifs, solidaires et responsables.

Certaines associations offrent, surtout aux jeunes et aux enfants les plus défavorisés, un « coup de pouce » pour pouvoir préparer leur avenir. Les œuvres caritatives les aident dans leurs projets en prenant part à leur éducation.

Elles contribuent à l’instauration de la plus grande égalité de chances tout en offrant un capital d’expérience. Ceci n’est pas seulement bénéfique pour les jeunes mais également pour les séniors puisque c’est un moyen de mettre en œuvre l’expérience acquise durant toute une vie de carrière.

Les associations caritatives permettent aussi de favoriser les rencontres entre les personnes âgées et les jeunes qui en temps normal se méprisent et se méconnaissent. Ce renforcement de la cohésion sociale et du développement associatif est très bénéfique pour les deux parties. Cela permet aux retraités d’éviter de s’isoler et aux jeunes d’acquérir les expériences nécessaires venant des ainés pour faire face à la vie.

La plupart des œuvres sociales contribuent au développement de nouvelles initiatives tout en favorisant les échanges d’informations et les contacts productifs avec différents partenaires privés et publics.

Les principes fondamentaux des œuvres sociales

Respect des droits de l’Homme

La plupart des associations caritatives respectent et adhèrent à la « Déclaration universelle des droits de l’Homme » précisant les droits fondamentaux de toute personne.

Idéalisme mis en action

Les œuvres sociales fondent souvent leurs actions sur la conviction et l’espoir profond que des citoyens, aussi simples qu’ils soient, peuvent changer le monde mais seulement avec un petit coup de pouce pour bien démarrer ce changement.

Participation libre au projet

Aucune volontaire, qu’il soit âgé ou jeune, ne peut être forcé de prendre part à chaque action. Chaque membre participe de son plein gré et chaque décision qu’il prend ne concerne que lui et lui seul.

Pédagogie différenciée

L’accompagnement proposé par les associations caritatives tient compte de la spécificité des publiques cibles en raison de leur hétérogénéité (difficultés particulières, environnement, personnalité, etc.)

Les plus démunis au centre de l’intervention

Les œuvres des bienfaisances défendent la participation et l’implication des familles les plus défavorisées, des jeunes et des enfants de manière à les rendre autonomes dans les actions et les décisions qui les concernent. Elles considèrent les plus démunis comme étant des interlocuteurs privilégiés. Ils doivent toujours rester au centre de chaque intervention en tout état de cause.

Investissement dans la durée

Les programmes proposés par les actions sociales ont toujours une durée bien longue, il y a de quoi s’investir et de passer le temps pour les personnes à la retraite. C’est également une manière de travailler des associations pour atteindre leurs buts.

Créer une association caritative après la retraite, c’est possible

Les œuvres sociales sont nombreuses pour un retraité : orienter les immigrés, aides les SDF, développer un hôpital ou une école dans les pays pauvres, etc. Plusieurs personnes montent divers projets humanitaires, notamment des personnes à la retraite en France, pour venir en aide à ceux qui ont en besoin.

Cela passe en général par la déclaration et la création d’une association. C’est le statut juridique d’association de la loi 1901 qui est le seul statut adapté pour une association humanitaire ou caritative.

Comment la créer ?

Il est primordial que le retraité prenne en compte quelques éléments qui concernent une association humanitaire : définition claire de l’objet de l’association dans ses statuts qui permettent de délimiter le domaine d’intervention, tissage des liens avec le public cible.

Il faut cependant noter que les préparatifs ne sont pas tous les mêmes en fonction du domaine dans lequel l’œuvre de bienfaisance va agir. Il est donc nécessaire d’évaluer les besoins de la structure pour qu’ils ne seront pas unes charge une fois que la réalisation est lancée.

Comment demander de l’aide ?

Un projet caritatif a besoin de financements pour démarrer. L’association humanitaire a principalement vocation à demander de l’aide et faire appel à la générosité publique par des campagnes de don pouvant mettre en place des droits d’entrée ou des cotisations.

La possibilité de collecter des fonds auprès du public est prévue dans ses statuts. Il est nécessaire d’insérer dans ces derniers une clause qui l’autorise à demander de l’aide et cela dès la création de l’association.

Comment faire pour être reconnu comme association d’utilité publique ?

Une association caritative a intérêt à devenir une association reconnue d’utilité publique. Cette position lui permet d’acquérir une légitimité dans son domaine d’action et de recevoir des legs et des dons avec exonération d’impôt.

Les statuts de l’association doivent respecter des critères pour avoir un accès à ce financement supplémentaire. La rédaction des statuts dans cette optique permet à son créateur de gagner du temps précieux et cela donne aussi du crédit à sa candidature.

Il faut donc que :

– Le fonctionnement de son association soit démocratique
– Les moyens de l’association soient proportionnés à ses objectifs
– Sa gestion financière doit être désintéressée tout en évitant le cumul entre les fonctions de salariés et de bénévoles

Comment créer un événement caritatif pour qu’il soit un succès ?

Les soucis du monde ont été débattus et il en est de même pour les moyens financiers. Il est possible pour une personne à la retraite d’envisager un évènement caritatif afin d’y remédier. Il est donc essentiel pour un sénior de savoir quel domaine de l’action sociale il va aider.

Une personne à la retraite doit au moins choisir une action caritative. Un compte bancaire est pour cela utile si elle n’en a pas encore. Ce compte bancaire est utilisé pour recueillir les levées de fond et les dons.

Il est important d’attribuer un nom à ce compte pour s’assurer qu’il soit conforme avec les impôts. Le meilleur est que son nom ait une relation avec la cause protégée par l’association.

Il faut déterminer l’audience à l’avance. Il est donc primordial de réfléchir quel genre de personne peut participer à l’événement. Est-ce que les cibles sont des hautes personnalités, la famille, les proches ou les amis ? L’évènement doit aussi être adapté à ce que le groupe de personnes répondant à l’appel aime faire.

Le responsable doit décider de la teneur de l’évènement une fois que toutes les manœuvres sont mises en place. Les idées ne sont pas limitées et la créativité est de mise. Il est possible d’organiser un évènement traditionnel tel que l’enchère silencieuse ou un diner. Il est cependant envisageable de penser à quelque chose de différent comme la course ou la bataille d’eau.

Il est cependant conseillé de faire quelques recherches sur les hautes personnalités, les autres associations et les célébrités qui sont d’accord pour soutenir l’œuvre sociale. Ici, le courriel est le plus pratique de tous les outils existants pour contacter à la fois plusieurs personnes et pour trouver les volontaires.

La liste de contacts peut aider l’ainé à trouver les personnes qui ont de l’expérience avec le genre d’évènement caritatif qu’il souhaite organiser. Pas besoin de leur attribuer une certaine responsabilité mais leur expérience dans le domaine est toujours la bienvenue. Cela s’avère important pour un sénior qui veut fonder sa propre association.

Un évènement bien organisé est avant tout un évènement qi se déroule dans un endroit où il y a peu de contrainte. Un endroit spacieux comme les écoles, les restaurants, les salles des fêtes, les églises peuvent faire l’affaire.

Un repérage de l’infrastructure s’avère nécessaire pour connaître les ressources à la disposition. Un plan doit être établi durant le repérage. Cela peut éviter les problèmes de « circulation » de personnes, par exemple, la queue qui bloque un accès.

Une date et heure doit être fixée pour faire sérieux. Il est important de savoir s’il n’y a pas un autre évènement caritatif qui se déroule au même moment puisque cela peut être crucial surtout une association qui commence à collecter des fonds.

Les moyens de paiement sont à prendre en compte et il faut noter que les chèques et les espèces sont faciles à gérer pour une association caritative. Une carte de crédit peut inciter l’association à plus dépenser.

Il ne faut surtout pas oublier les démarches administratives auprès des autorités. Les autorités nationales du jeu doivent être signalées si l’évènement pour la collecte de fonds est une tombola. Les autorités sanitaires doivent être présentes s’il y a de la nourriture.

Quels sont les devoirs d’une personne à la retraite dans la communauté ?

Les devoirs d’une personne âgée envers la société sont généralement de deux natures : morale et juridique. Elle doit respecter les droits des autres. L’exercice des droits naturels de tout Homme n’a pas de limites que celles assurant aux autres membres d’une communauté la jouissance de même droits selon la Déclaration des droits de l’Homme.

Le citoyen, membre dans une association de bienfaisance, a droit au respect de sa vie privée. Il doit également respecter celles des autres. Il ne doit en aucun cas empêcher quelqu’un d’exprimer ses sentiments et de s’exprimer librement. Il a le droit d’avoir ses propres idées.

Les devoirs d’une personne à la retraite envers les autres citoyens ne se limitent pas seulement à des obligations juridiques, ils doivent aussi être complétés par la dimension morale.

C’est pour cela qu’un sénior à la retraite est idéal s’il fait preuve de civilité et de civisme en aidant d’autres personnes par des œuvres sociales. L’attitude d’une personne âgée envers les autres est importante pour rendre la vie en société meilleure qu’hier et moins que demain.

La possibilité de venir en aide aux personnes les plus démunies est un des éléments capitaux pour la citoyenneté et cela à part le respect et la politesse. Le manquement à ces règles de base de vie en société affaiblit cette notion de citoyenneté chez l’ainé.